À moins que vous n’ayez déjà une petite idée sur la question, répondez au test et comptez le nombre de figures sélectionnées.
Vous êtes invité chez des amis avec votre petite dernière de 4 ans. Pour l’occuper, vous prévoyez :
Une tablette avec des applis d’apprentissage de l’anglais.
Des livres audios.
Des livres et des coloriages.
Rien de particulier. Si elle fait un caprice, il y a toujours YouTube.
Selon vous, combien des 7-12 ans ont leur propre tablette ?
14 %
36 %
< 5 %
47 %
Votre bambin vient de faire ses premiers pas…
Vous sauvegardez ses photos dans son album virtuel pour plus tard.
Vous envoyez quelques photos à votre famille par messagerie instantanée.
Vous appelez vos proches.
Vous publiez immédiatement la vidéo sur vos réseaux sociaux.
Quelle a été votre première mesure concernant l’utilisation des écrans par vos enfants ?
Télécharger des contenus éducatifs.
Instaurer des règles : pas de smartphone à table par exemple.
Interdire tout accès à des écrans.
Aucune mesure en particulier.
Connaissez-vous l’utilisation d’internet qu’ont vos enfants ?
Ils n’ont accès qu’à du contenu éducatif… Enfin, je crois.
Oui, ils me racontent ce qu’ils font et nous en discutons.
Oui, je les surveille grâce à des outils dédiés.
Pas vraiment.
Comment se comporte votre enfant ou votre adolescent vis-à-vis du numérique ?
Il est demandeur de davantage de contenus de divertissement.
C’est une activité comme une autre pour lui.
Il se connecte en cachette.
Lorsqu’il se lève le matin, la première chose qu’il cherche est son portable / sa tablette.
Pour vous, le mobile ou le digital, c’est…
Une mine d’opportunités d’apprentissage.
Un outil d’éducation et de divertissement parmi d’autres.
Une remise en question de l’autorité parentale.
Un outil d’autonomie.
Et vous, êtes-vous nomophobe ? (Avez-vous peur d’être séparé de votre smartphone ?)
Je ne l’utilise que pour m’informer, travailler et apprendre.
Je m’aménage des temps de déconnexion, même si c’est difficile !
Je l’utilise beaucoup… Et cela me fait culpabiliser.
Si je réfléchis, je dois avouer… Oui, je ne le lâche pas.
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